Sauf à reproduire des poissons qui ont des tares, plutôt à voir au niveau de la bouffe et de la qualité de l'eau lors de l'élevage je pense.
Apistogramma panduro
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Ton témoignage va dans le sens qu’une composante hormonale forte pourrait jouer un rôle, et comme tout vertébré, y compris nous, une poussée soudaine de croissance c’est pas bon pour le squelette, et pour faire un lien avec la composante mauvaises conditions d’élevage (carences), les conséquences délétères peuvent se révéler, et malgré tout, le background génétique peut aussi expliquer que certains individus seront pas, peu ou beaucoup affectés.Hapisto a écrit : ↑12 oct. 2022 10:47 Très sympa cette vidéo, merci.
J'ai aussi eu une poussée de croissance pour un apistogramma mâle dominé que j'ai déplacé dans un autre aquarium.
Il est passé d'un male sneaky faisant la taille d'une femelle d'un an à un beau mâle deux fois plus grand. Belle découverte en rentrant de 10 jours de vacances.
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Bah si on suit le raisonnement tu peux avoir un poisson degueu génétiquement sain, le tout est de savoir quelle tare relève de la genet et laquelle du développement mais on s’éloigne un peu du sujet.
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Désolé de revenir sur ce sujet, mais c'est important pour les novices en la matière, comme moi, d'exposer des situations même particulièresHapisto a écrit : ↑12 oct. 2022 10:47 Très sympa cette vidéo, merci.
J'ai aussi eu une poussée de croissance pour un apistogramma mâle dominé que j'ai déplacé dans un autre aquarium.
Il est passé d'un male sneaky faisant la taille d'une femelle d'un an à un beau mâle deux fois plus grand. Belle découverte en rentrant de 10 jours de vacances.
Point de départ, comme un bleu je mes suis fait avoir en achetant deux femelles au lieu d'un couple d'A. panduro (une des deux était plus grosse et des pelviennes plus longues). En discutant sur le forum (version précédente), certains m'avaient bien expliqué les dimorphismes sexuels, plus mes propres lectures, je réalisais en effet que j'avais deux femelles, qui par ailleurs se retrouvaient dans une noix de coco, avec une qui pondait... La plus grosse femelle comme je l'ai dit a mourru. J'ai acheté un petit mâle, je ne reviens pas dessus rassurez vous, et pas de repro, malgré des invitations de la femelles dans une noix de coco.
Depuis le mois d'octobre, je vois bien que le mâle décline, d'abord restant plus près du sol, trainant un peu de la caudale, mais se nourrissant et chassant de temps en temps les tétras. A ce jours il doit être là encore, mais comme hier ne se montre plus, donc je me prépare à son départ au paradis des poissons; çà ressemble quand même à un vieillissement accéléré, mais on est d'accord qu'on ne saura pas d'où çà vient vraiment comme discuter en octobre.
Par contre, fait remarquable, la femelle, depuis que le mâle devient faiblard, montre des signes bien clairs de transformation en mâle: perte des marques noires sur le ventre, les nageoires pelviennes et des premières épines de la dorsale; allongement des pelviennes; nageoire caudale prenant des reflets bleutés; le corps est encore jaune sale mais je vois aussi des reflets bleus plus visible sur la nageoire dorsale.
Alors, en fouillant sur la toile, des cas de ce genre auraient été cités, même par des experts des Apistos, mais privilégiant la voie de mâles dominés, se déguisant en femelle pour être moins agressé et qui lors de changement de hiérarchie, dont mort du dominant, révèlent leur véritable sexe.
Donc, est-ce que çà expliquerait l'absence de repro
Bref, tout çà pour dire que ces bébêtes sont bien jolies et intéressantes à observées, mais peut-être un peu trop complexes à mon goût. En effet, je ne compte pas reprendre une femelle pour vérifier l'hypothèse, car un je veux plus d'A d'élevages commerciaux et deux je ne serais pas sûr du sexe réel...
- N..
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Deux jeunes panduro sauvages qui préparent leur seconde ponte (la première n'a pas donné de nage libre), ils ignorent les Hemiloricaria sauf quand ils viennent vraiment trop près du nid (uniquement quand je file à bouffer, sinon les lori n'approchent jamais) et tentent de les virer le plus souvent en attaquant les yeux (jamais constaté de dommages cependant).
Les lori ne restent jamais longtemps, une poignée de minutes et se tirent vite fait.
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